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    Amélie PREVE

     

    Bonjour, Amélie PREVE, vous êtes l’auteur de publié « Contre-nature » chez les Editions de la Reine, le 25 février prochain. Les internautes et vos lecteurs ne vous connaissent pas forcément, pouvez-vous parler de votre parcours ?
     

    Mon parcours...hum... Je suis née dans une région où, à l’heure d’aujourd’hui, il doit toujours y avoir plus de vaches que d’habitants (si si, c’est possible, au pays de la cancoillotte :P) Bon, blague mise à part, si on commence du début, ça va être un peu long (et assez inintéressant). L’idée de ce roman a germé dans mon esprit alors que je n’avais que 14 ans. Après plusieurs tentatives qui se sont soldées par un échec, sûrement dû à mon immaturité par rapport à l’ampleur d’un tel projet et à l’ambiance noire de ce roman, je l’avais abandonné quelques temps. Je ne l’ai repris que lors de l’été 2013, et là, ça s’est écrit tout seul et en moins de six mois, le premier jet était sorti. Et après quelques temps de correction, c’est avec grand plaisir que j’ai découvert que les éditions de la Reine acceptaient de me le publier :)

    Aimez-vous lire ? On dit souvent qu’il faut beaucoup lire pour écrire, qu’en pensez-vous ?

    J’ai toujours été une mordue de lecture, depuis mon plus jeune âge. Je ne compte pas les heures passées à lire, cachée sous ma couette en pleine nuit parce que j’étais incapable de décrocher de mon bouquin. Pour moi, la lecture est naturelle et je pense effectivement qu’elle est primordiale pour écrire. Déjà parce qu’on visualise mieux les mots qu’on lit donc c’est un gros plus pour l’orthographe, mais aussi car elle aide à stimuler l’imagination et, inconsciemment, à étudier la structure du récit.

    Avez-vous des projets d’écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?

    Je suis actuellement dans un projet de Fantasy en plusieurs tomes qui demande pas mal de travail mais je m’amuse beaucoup en l’écrivant. Pour le moment, c’est compliqué d’en dire plus, il y aurait beaucoup trop de choses à raconter ;)

    Depuis quand écrivez-vous ? Avez-vous écrit autre chose que votre genre publié ? 

    J’ai commencé à écrire des petits textes en primaire, vers 9 ans. D’abord, c’était des poèmes à l’école mais suite aux encouragements de mes professeurs, j’ai gribouillé des petites histoires qui tenaient sur trois pages maximum et qui finissaient toutes à la poubelle au fur et à mesure. Puis à 14 ans, l’illumination ! L’histoire de « Contre-Nature » s’est imposée à mon esprit donc je me suis lancée dans l’aventure. Oui oui, j’avais l’esprit tordu très tôt ;)
    Sinon, effectivement, ce premier roman étant un thriller, je suis partie sur une romance pour le second et là...de la Fantasy. Autant dire que j’aime toucher à tout ;)


    Vous êtes un(e) écrivain(e) à plein temps ou pas ? Avez-vous l’ambition de l’être ?

    Malheureusement non. Je pense que tout écrivain rêverait de pouvoir vivre de sa passion. Mais comme pour beaucoup, il faut bien que je remplisse mon frigo, donc j’écris dans mon temps libre. Mais il est évident que si la chance se présentait un jour de pouvoir écrire à plein temps, je la saisirais sans me poser de questions. Tout simplement parce que j’ai trop d’histoire à coucher sur papier et que tant que ce n’est pas fait, toutes ces idées me harcèlent, alors autant vous dire que c’est un sacré cafouillis dans mon esprit ! 


    Que pensez-vous du monde de l’édition ?

    Pour le moment, je n’ai qu’un tout petit pied dedans donc je ne peux pas encore trop me prononcer dessus mais pour moi c’est une chance, un rêve et surtout la concrétisation de plusieurs années de travail. Pour le moment, ce monde me transporte sur un petit nuage. Il n’y a plus qu’à attendre de voir combien de temps je vais y rester ;)


    Passons aux questions sur votre livre, êtes-vous fière de votre livre ?

    On peut dire que j’en suis fière effectivement, c’est l’aboutissement de beaucoup de travail, de grosses périodes de doutes, de remise en question, mais j’ai réussi à aller jusqu’au bout et c’était mon objectif premier.


    Quel est son thème fédérateur et en quoi vous a-t-il plu ?

    À vrai dire, je n’ai pas réfléchi à un message en particulier à véhiculer. Je pense que la quête de la vérité est une idée assez développée dans ce roman, et le fait qu’il ne faut pas se fier aux apparences. Je ne dirais pas qu’il m’a plu plus qu’un autre, j’ai écrit mon histoire sans vraiment y réfléchir.


    Quel est le sujet de votre livre ?

    Pour résumer, c’est une femme qui part à la recherche de son mari disparu du jour au lendemain. Un chassé-croisé entre une enquête policière menée par un flic un peu ripoux, et la vie de Rachel, mon personnage principal à partir de ce jour.


    Un de vos personnages vous ressemble –t-il ?

    On ne peut pas vraiment dire qu’il y en ait un qui me ressemble. J’ai insufflé quelques traits de mon caractère à Rachel comme je le fais souvent avec mes personnages sans jamais faire en sorte qu’ils soient comme moi. Ils en sont plus intéressants ;)

    Que voulez-vous dire à vos lecteurs et peut être futurs lecteurs ?

    Déjà un grand merci à ceux qui liront « Contre-Nature ». J’espère de tout cœur que ce roman leur plaira, et qu’ils prendront autant de plaisir à le découvrir que moi j’en ai pris à l’écrire. Et surtout, qu’ils n’hésitent pas à me suivre sur les réseaux sociaux et notamment ma page Facebook sur laquelle je mettrai régulièrement des nouvelles de ce roman et de mes futurs projets :) 

    Quel est votre rituel d’écriture ?

    Je ne pourrais pas réellement parler d’un rituel. J’aime boire une boisson chaude (thé ou chocolat) quand j’écris, ça me donne une certaine sensation de confort et un apaisement. Mais je ne le fais pas systématiquement. En revanche, j’ai trouvé une bonne méthode pour écrire de façon efficace. Je n’écris pas sur ordinateur mais sur un cahier à spirale que je promène partout avec moi. Il me protège d’une certaine façon du syndrome de la page blanche et dès que j’ai fini, je retape tout et apporte les premières corrections. J’ai remarqué que c’était ce qui marchait le mieux pour moi.


    Avez-vous un conseil à offrir aux écrivain(e)s en herbe ?

    Surtout, il faut croire en ses projets, en ce qu’on écrit. Mais je pense que le meilleur conseil que je puisse donner, c’est de bien s’entourer. Quelqu’un d’extérieur verra forcément mieux les erreurs que vous faites que vous-même, avoir des amis qui vous suivent et vous poussent de l’avant vous aidera à aller jusqu’au bout et à moins douter de la réussite de votre projet. Bref, entourez-vous des personnes que vous aimez, ils vous donneront les ailes ;)

     

    Chroniques littéraires de l'auteure  : http://landofbooks-chroniques.blogspot.fr/

    Page facebook de l'auteure :  https://www.facebook.com/ameliepreve?fref=ts

     

     


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  •  Résumé :  

    Grosse armoire à glace sans la moindre intelligence, Clay Blaisdell Junior, dit Blaze, enchaîne les petits casses sans faire de gros coup. Un jour, il rencontre George, un type très malin et pro du genre. Ils mettent au point le super plan du siècle, kidnapper le nouveau né   des Gérard, riches à millions. Le seul souci George s'est fait descendre. Mais, est-il vraiment mort ?

     

     Pourquoi le lire ? déjà par curiosité, King n'était pas encore ce qu'il était et vous le rappelle gentiment dans une petite note hilarante. Ensuite, pour la côté fantastique de l'histoire, on se demande si le ramollis du cerveau va s'en sortir ou pas.

     


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  • Bonjour, Anne Bardelli, vous êtes l’auteur de « La main immaculée » publié chez les « Éditions du Petit Caveau ». Les internautes et vos lecteurs ne vous connaissent pas forcément, pouvez-vous parler de votre parcours ?

    Aimez-vous lire ? On dit souvent qu’il faut beaucoup lire pour écrire, qu’en pensez-vous ?

    J’avoue moins lire aujourd’hui, mais plus jeune je dévorais les bouquins. J’essaie toutefois de continuer avec au moins 1 livre par mois. J’aime toujours autant cela, mais le rythme quotidien m’en laisse moins le temps, et comme j’écris durant les plages horaires libres où je pourrais lire… Je pense que lire est important, au niveau de l’orthographe déjà. On « photographie » les mots. Ça peut aussi influencer au niveau du style, donner des idées d’histoire, etc.

    Avez-vous des projets d’écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?

    Ouh là, je n’arrête pas. Je me suis lancée tête baissée dans une saga en plusieurs tomes. Le tome 1, « La marque » sortira vers février, toujours au Petit Caveau, et côté écriture je vais bientôt terminer le 1er jet du tome 6 ! Et comme mes personnages me manquent dès que je les laisse, aucun doute que je foncerai pour les faire souffrir encore et encore. Je suis une vraie sadique avec eux.

    Depuis quand écrivez-vous ? Avez-vous écrit autre chose que votre genre publié ? 

    Ça m’est tombé dessus assez tard. Je ne peux pas dire que je n’y avais jamais pensé avant, mais je n’avais pas franchi le pas. J’ai noirci mes premières pages lors de mon congé maternité : du temps à ne savoir qu’en faire ! A la reprise du travail, j’ai arrêté. C’est expatriée en Autriche que je m’y suis remise : un trou perdu au milieu des champs, personne de connaissance, langue allemande inconnue pour moi… bref, je devais m’occuper dare-dare ou finir neurasthénique. J’ai donc écris pendant les 2 années sur place, et continué à mon retour en France… j’y avais pris goût !
    Ma première publication était une nouvelle, envoyée suite à un appel à texte. J’ai eu la surprise et la joie de la voir sélectionnée et éditée au sein d’une anthologie. J’ai également gagné un prix à un concours de nouvelles. Tout cela m’a boostée pour la suite, m’a donné confiance en moi.
    J’écris du fantastique, qui est aussi ma lecture de prédilection. J’aimerais écrire un jour du thriller/polar, pourquoi pas. Me lancer dans un roman plein d’humour me tenterait bien aussi, mais savoir faire rire est tellement difficile ! Bien plus que de faire pleurer.

    Vous êtes un(e) écrivain(e) à plein temps ou pas ? Avez-vous l’ambition de l’être ?

    Le rêve de tout scribouillard ! Vivre de sa plume ! Maintenant, il faut savoir garder les pieds sur terre… J’écris à plein temps faute d’avoir trouvé un emploi. En parallèle, j’ai aussi monté mon auto-entreprise de correction.

    Que pensez-vous du monde de l’édition ?

    C’est un monde plutôt inconnu qui peut dérouter. L’auteur débutant est confronté à des maisons sérieuses, mais aussi à pas mal d’arnaques. Il faut savoir nager dans ces eaux troubles sans se faire attraper par les requins. J’ai la chance d’être tombée de suite sur un éditeur à taille humaine et très sympathique, ce n’est pas toujours le cas. Si j’ai un conseil à donner : fuyez dès qu’on vous demande de l’argent !

    Passons aux questions sur votre livre, êtes-vous fière de votre livre ?

    Pas du tout, voyons… Nan, je plaisante ! Bien-sûr que j’en suis fière ! C’est un bébé qui a vu le jour après plusieurs mois de gestation. Maintenant, il vole de ses propres ailes, et le voir aller au bout de l’aventure est jouissif. Quand j’ai commencé à écrire, c’était juste pour le fun, jamais je n’aurais imaginé me faire publier un jour. Comme quoi, il ne faut rien lâcher, le rêve peut se concrétiser.

    Quel est son thème fédérateur et en quoi vous a-t-il plu ?

    Le respect des autres, malgré les différences. Dit comme ça, c’est un peu pompeux, mais bon… 
    Pour tout dire, l’idée de départ m’est venue d’un fait-divers qui a eut lieu en Angleterre il y a quelques années. Un couple agressé dans un parc par trois jeunes de leur âge, juste à cause de leur look. Trois semaines de coma pour le garçon, qui a appris à son réveil que sa copine était décédée. Les agresseurs s’en sont sortis avec des peines légères, et leur famille ne comprenaient pas pourquoi ils allaient en prison. Les pauvres, ils n’avaient rien fait de mal… L’Angleterre profonde, celle du hooliganisme et de la bêtise alcoolisée. Évidemment, mon histoire s’éloigne des faits réels, à la sauce fantastique.

    Quel est le sujet de votre livre ?

    Marie Costello, journaliste, est plongée au cœur d’une enquête nauséabonde.
    Deux gosses gothiques ont été violemment agressés à la sortie d’une soirée.
    Afin de découvrir l’identité des coupables, elle tente d’infiltrer le milieu de la nuit, un monde qu’elle connaît peu et dont elle ignore les codes.
    Au cœur du Black Pearl, boîte branchée dont l’énigmatique patron ne la quitte pas des yeux, elle va découvrir que cette affaire est beaucoup plus sordide que ce qu’elle imaginait…
    Je n’en dirais pas plus afin de ne pas spoiler…

    Un de vos personnages vous ressemble –t-il ?

    Une héroïne tête de lard, jusqu’au boutiste, avec un mauvais caractère et un penchant pour les cocktails à base de rhum… Hum… On peut dire qu’il y a un peu de moi en Marie Costello, pour sûr !

    Que voulez-vous dire à vos lecteurs et peut être futurs lecteurs ?

    Achetez mon livre ! Je plaisante… Quoi que…
    Si vous aimez le fantastique, plus précisément la bit-lit (même si je n’aime pas trop ce terme, je lui préfère Fantasy Urbaine), les scènes de bagarres, l’action, les réparties acides, la romance à doses légères, eh bien voilà ! Les critiques s’accordent toutes sur le fait que mon style est fluide et que le suspens est dosé comme il faut. En plus, j’ai eu la chance de tomber sur une illustratrice talentueuse, Erica Petit, qui m’a fait une couverture que j’adore.
    J’espère que celles et ceux qui l’on lu ont bien aimé, qu’elles/ils ont pris autant de plaisir à le lire que moi à l’écrire.
    A celles et ceux qui ne l’ont pas encore lu… eh bien, vous attendez quoi ? Que je vous envoie un bristol ?

    Quel est votre rituel d’écriture ?
    Avez-vous un conseil à offrir aux écrivain(e)s en herbe ?


    Je n’ai pas de rituel à proprement parler. J’essaie juste d’être constante, à savoir écrire un peu chaque jour. Parfois je boucle un chapitre entier, parfois je ne couche que quelques lignes, mais je me mets devant l’ordinateur quoi qu’il arrive et tente de sortir quelque chose.
    En tant qu’auteure débutante, je me vois assez mal donner des conseils. Je me prends pour qui ? Tout ce que je peux dire, c’est : tentez, essayez, vous n’avez rien à perdre. Partez de votre idée de départ, et brodez autour. Faites un plan si vous le sentez mieux ainsi, avec une phrase par chapitre. Et quand l’histoire tient la route, allez-y ! Lisez beaucoup, regardez des films, des séries TV, notez vos rêves, inspirez-vous des informations… l’idée de génie peut surgir n’importe où, n’importe quand !
    Et retenir un maître-mot : le plaisir ! On doit écrire par plaisir, pas pour faire comme le copain ou parce que ça ferait la joie de maman. Non ! Il n’en ressortirait rien de bon. Écrire doit rester le petit rituel qui fait du bien, qui vide la tête, qui procure un bien-être digne de séance de Spa.

    http://livre.fnac.com/a8641037/Anne-Bardelli-La-main-immaculee#st=anne%20barde&ct=&t=p

    http://www.editionsdupetitcaveau.com/produit/la-main-immaculee-de-anne-bardelli/

     

    Anne Bardelli


    3 commentaires
  • Le maître de l'horreur  est auteur d'un manuel, Ecriture: Mémoires d'un métier.

    Vous  rêvé d'écrire comme lui ?  Lisez ce livre.  parmi  les conseils donnés il y a quelques règles

    1. Ecrire d'abord pour soi, ne penser au lecteur qu'après. 

     
     

    2. Ne vous préoccupez pas du qu'en dira-t-on. 

    3. Avoir confiance en soi. "

    4. Rester fidèle à son propre style. 

    5. Ecrire rend heureux

    6. Soigner l'introduction.

    7. Ne pas utiliser la forme passive.

    8. Eviter les adverbes. 

    9. Faire des paragraphes. 

    10. Ne pas être exhaustif dans les passages descriptifs.

    11. Le travail de documentation ne doit pas supplanter l'intrigue.

     

    12 .  Ecrire et lire tout le temps


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  • Bonjour,

    le projet de conte culinaire pour enfants est en voie de finalisation.

    En ce qui concerne "Ta vie m'appartient"  j'attends encore les retours. Vous trouverez le Chapitre 1 juste au dessus.

    La suite de ce thriller fantastique est en écriture.

     

    Oui, j'admets je suis longue, mais un imprévu dents de sagesse a contrecarré mes plans.


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