-
-
-
Résumé : Pas plus que sa jeune assistante, l'inspecteur-profileur Brolin ne pense que les serial killers reviennent d'outre-tombe. Fût-il le monstrueux bourreau de Portland qui étouffait et vitriolait ses victimes avant de les découper avec précision.
Mais le bourreau est mort et le carnage se poursuit, identique : un même rituel horrible.
Le nouveau tueur agit-il seul ou fait-il partie d'une secte ? Pure sauvagerie ou magie noire ?
Brolin a peur. Cette affaire dépasse tout ce qu'on lui a enseigné. S'immerger complètement dans la psychologie d'un monstre, le comprendre afin de le cerner et de prévoir ses crimes, devenir un monstre soi-même, tels sont les moindres risques de son métier.
On dit au FBI qu'il s'en faudrait d'un rien pour qu'un bon profiteur aille rejoindre la galerie de ses pires clients. Peut-on impunément prêter son âme au mal ?Pourquoi le lire ?
Pour apprendre le vocabulaire judiciaire et surtout voir le bon déroulement d'une enquête faite par un profileur
2 commentaires -
Qui n’a jamais confondu « sensé » avec « censé » ?
Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « supposé » ?
Écrivez : censé
NB : il est presque toujours suivi d’un infinitif.
Exemples :
On n’est pas censé passer au feu rouge. = On n’est pas supposé passer au feu rouge.
Nul n'est censé ignorer la loi.
Ils étaient censés m'envoyer leur devis aujourd'hui.
Leur devis était censé arriver aujourd'hui.
« Sensé » signifie, pour sa part, « plein de bon sens » ou « qui a du sens » :
Exemples :
Quel être sensé sauterait de la tour Eiffel ? = Quel être plein de bon sens sauterait de la tour Eiffel ?
Un homme sensé n'aurait pas agi ainsi.
Ces paroles sensées me rassurent.
2 commentaires -
Bonjour, Anne Bardelli, vous êtes l’auteur d’ « A belles dents » le tome 2 des aventures d’un agent spécial, Léa Bacal, publié chez les « Éditions du Petit Caveau » qui sortira le 20 février prochain (site éditeur) et le 27 février sur les autres plateformes de vente.
Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler qui vous êtes ?
Bonjour les p’tits crocs ! Pas grand-chose de changé, j’ai juste pris un an de plus ! Et je suis toujours aussi cruellement normale. Quoi que… Encore abonnée aux thrillers, polars et romans fantastique côté lecture, je continue de malmener le personnage de Léa en terme d’écriture. Le tome 3 est entre les doigts acérés de l’éditeur, j’ai écrit jusqu’au tome 6. Pour l’instant, je suis en pause, mais j’ai des idées pour le tome 7.
Avez-vous des lecteurs qui vous suivent et par quels biais ?
Oui, j’ai quelques fans ! (prend une grande inspiration, bombe le torse et se passe une mèche derrière l’oreille avec un sourire béat). OK, pas de quoi remplir le Stade de France non plus, mais ça avance gentiment. Certains me suivent sur Facebook ou Tweeter, d’autres sont fait de chair et de sang, ont connu mes écrits par le bouche à oreille et je les côtoie. Mon lectorat est majoritairement féminin, mais quelques hommes se sont infiltrés. Côté âge, il y a de tout, de 18 à 500 ans environ.
Se sont-ils donné un surnom comme les « Mussoliens » par exemple ?
J’aimerais bien ! Pas que je sache, donc… Bon, après faut voir quels surnoms donner, hein !
Comment s’est passé/se passe la vente de votre premier tome ?
Plutôt bien. Je ne pensais pas que le numérique fonctionnerait si bien en France, mais il faut croire que ça prend. J’en ai, de fait, vendu plus en numérique qu’en papier.
Quel(s) livre(s) et de quel(s) genre(s) se trouvent dans votre P.A.L. en ce moment ?
Là, je finis un polar : Les assassins, de R.J. Ellory. Ensuite, ce sera Règle n°1, un thriller de R. Crais. Après, je voudrais relire Les hauts de Hurlevent de E. Brontë, mais en anglais (Wuthering Heights) ! Faut bien corser le défi.
Avez-vous des projets d’écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?
Comme je disais plus haut, je suis en pause côté écriture, mais un tome 7 est prévu. Comme souvent, c’est l’actualité qui m’inspire et (sauf si je change d’avis d’ici là !), c’est l’adoption par des couples non conventionnels qui sera au centre de l’histoire.
Quel est le sujet de votre livre ? Pouvez-vous nous en faire un rapide résumé ?
Ce tome 2 tourne autour du thème de la vengeance. Pour faire court, un tueur lycan cible des jeunes femmes qui ressemblent un peu à l’agent Bacal. Une histoire ancienne qui refait surface, des amitiés qui se nouent, un drame qui va frapper Léa de plein fouet… je ne peux pas tellement en dire plus sans spoiler !
Quel est le thème fédérateur de ce tome, en quoi vous a-t-il plu ?
Il n’y a pas vraiment de thème fédérateur dans ce tome 2 puisque l’histoire s’axe surtout autour de la vengeance… thème universel s’il en est ! On peut encore y retrouver mon plaidoyer contre les préjugés.
Vous nous aviez confié que Léa vous ressemblait au niveau du caractère, par conséquent vos personnages sont-ils totalement fictifs ?
Oui, totalement fictifs ! Un écrivain insuffle toujours un peu de lui dans ses personnages, son caractère, ses phobies, ses goûts, même inconsciemment… alors oui, je suis tête de mule et arachnophobe au dernier degré comme Léa, mais ça s’arrête là. Bon, après, on connait tous des gens arrogants comme Charles, un peu taiseux comme Hunter, il suffit de regarder autour de soi pour s’inspirer.
Que répondriez-vous aux gens qui diraient que vous surfez sur la vague vampirique du moment ?
Les sports de glisse et moi, ça fait deux, et le surf n’échappe pas à la règle. Plus sérieusement, j’ai toujours aimé ces histoires. Je lisais Anne Rice et Bram Stocker alors qu’Edward Cullen n’était pas né (et d’ailleurs je n’ai jamais lu Twilight, ni aucun bit-lit à la mode !). De même, je me passionnais enfant pour les dinosaures alors que Jurassic Park n’existait pas encore. Je me fiche pas mal des modes, des courants, des genres. J’écris ce qui me plaît, comme ça me vient. Après, tant mieux si c’est « tendance » et que mes écrits trouvent un public. J’ai aussi écrit sur les anges et les mondes parallèles, comme quoi, je ne suis pas sectaire !
Auriez-vous un petit message pour votre lectorat ?
Comme la fois précédente, je tiens à les remercier. Sans eux, Léa et ses potes se cantonneraient non pas au fond d’un tiroir poussiéreux, mais modernité oblige, au fond de circuits imprimés surchauffés. Bref, ils moisiraient seuls dans leur coin. C’est le lectorat qui leur permet de sortir de l’ombre, de vivre, de souffrir, d’aimer, de mourir aussi… comme les vrai gens. Sans lecteurs, pas de romans. S’ils ont aimé le tome 1, j’espère que cette suite sera à la hauteur de leur espérance et qu’ils aimeront suivre cette tête de mule de Bacal qui va encore bien en baver. Et ce n’est pas fini…
Site de l'éditeur : http://www.editionsdupetitcaveau.com/lea-bacal-tome-2-a-belles-dents-danne-bardelli/
Site de l'auteure : http://nanouvire.wixsite.com/mordu-de-fantastique
1 commentaire