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    Anne BARDELLI - "Léa BACAL tome 2 : À belles dents"

    Bonjour, Anne Bardelli, vous êtes l’auteur d’ « A belles dents » le tome 2 des aventures d’un agent spécial, Léa Bacal, publié chez les « Éditions du Petit Caveau » qui sortira le 20 février prochain (site éditeur) et le 27 février sur les autres plateformes de vente.

     

    Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler qui vous êtes ?

    Bonjour les p’tits crocs ! Pas grand-chose de changé, j’ai juste pris un an de plus ! Et je suis toujours aussi cruellement normale. Quoi que… Encore abonnée aux thrillers, polars et romans fantastique côté lecture, je continue de malmener le personnage de Léa en terme d’écriture. Le tome 3 est entre les doigts acérés de l’éditeur, j’ai écrit jusqu’au tome 6. Pour l’instant, je suis en pause, mais j’ai des idées pour le tome 7.

     

    Avez-vous des lecteurs qui vous suivent et par quels biais ?

     

    Oui, j’ai quelques fans ! (prend une grande inspiration, bombe le torse et se passe une mèche derrière l’oreille avec un sourire béat). OK, pas de quoi remplir le Stade de France non plus, mais ça avance gentiment. Certains me suivent sur Facebook ou Tweeter, d’autres sont fait de chair et de sang, ont connu mes écrits par le bouche à oreille et je les côtoie. Mon lectorat est majoritairement féminin, mais quelques hommes se sont infiltrés. Côté âge, il y a de tout, de 18 à 500 ans environ.

     

    Se sont-ils donné un surnom comme les « Mussoliens » par exemple ?

     

    J’aimerais bien ! Pas que je sache, donc… Bon, après faut voir quels surnoms donner, hein !

     

    Comment s’est passé/se passe la vente de votre premier tome ?

     

    Plutôt bien. Je ne pensais pas que le numérique fonctionnerait si bien en France, mais il faut croire que ça prend. J’en ai, de fait, vendu plus en numérique qu’en papier.

     

    Quel(s) livre(s) et de quel(s) genre(s) se trouvent dans votre P.A.L. en ce moment ?

     

    Là, je finis un polar : Les assassins, de R.J. Ellory. Ensuite, ce sera Règle n°1, un thriller de R. Crais. Après, je voudrais relire Les hauts de Hurlevent de E. Brontë, mais en anglais (Wuthering Heights) ! Faut bien corser le défi.

     

    Avez-vous des projets d’écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?

     

    Comme je disais plus haut, je suis en pause côté écriture, mais un tome 7 est prévu. Comme souvent, c’est l’actualité qui m’inspire et (sauf si je change d’avis d’ici là !), c’est l’adoption par des couples non conventionnels qui sera au centre de l’histoire.

     

    Quel est le sujet de votre livre ? Pouvez-vous nous en faire un rapide résumé ?

     

    Ce tome 2 tourne autour du thème de la vengeance. Pour faire court, un tueur lycan cible des jeunes femmes qui ressemblent un peu à l’agent Bacal. Une histoire ancienne qui refait surface, des amitiés qui se nouent, un drame qui va frapper Léa de plein fouet… je ne peux pas tellement en dire plus sans spoiler !

     

    Quel est le thème fédérateur de ce tome, en quoi vous a-t-il plu ?

     

    Il n’y a pas vraiment de thème fédérateur dans ce tome 2 puisque l’histoire s’axe surtout autour de la vengeance… thème universel s’il en est ! On peut encore y retrouver mon plaidoyer contre les préjugés.

     

    Vous nous aviez confié que Léa vous ressemblait au niveau du caractère, par conséquent vos personnages sont-ils totalement fictifs ?

     

    Oui, totalement fictifs ! Un écrivain insuffle toujours un peu de lui dans ses personnages, son caractère, ses phobies, ses goûts, même inconsciemment… alors oui, je suis tête de mule et arachnophobe au dernier degré comme Léa, mais ça s’arrête là. Bon, après, on connait tous des gens arrogants comme Charles, un peu taiseux comme Hunter, il suffit de regarder autour de soi pour s’inspirer.

     

    Que répondriez-vous aux gens qui diraient que vous surfez sur la vague vampirique du moment ?

     

    Les sports de glisse et moi, ça fait deux, et le surf n’échappe pas à la règle. Plus sérieusement, j’ai toujours aimé ces histoires. Je lisais Anne Rice et Bram Stocker alors qu’Edward Cullen n’était pas né (et d’ailleurs je n’ai jamais lu Twilight, ni aucun bit-lit à la mode !). De même, je me passionnais enfant pour les dinosaures alors que Jurassic Park n’existait pas encore. Je me fiche pas mal des modes, des courants, des genres. J’écris ce qui me plaît, comme ça me vient. Après, tant mieux si c’est « tendance » et que mes écrits trouvent un public. J’ai aussi écrit sur les anges et les mondes parallèles, comme quoi, je ne suis pas sectaire !

     

    Auriez-vous un petit message pour votre lectorat ?

     

    Comme la fois précédente, je tiens à les remercier. Sans eux, Léa et ses potes se cantonneraient non pas au fond d’un tiroir poussiéreux, mais modernité oblige, au fond de circuits imprimés surchauffés. Bref, ils moisiraient seuls dans leur coin. C’est le lectorat qui leur permet de sortir de l’ombre, de vivre, de souffrir, d’aimer, de mourir aussi… comme les vrai gens. Sans lecteurs, pas de romans. S’ils ont aimé le tome 1, j’espère que cette suite sera à la hauteur de leur espérance et qu’ils aimeront suivre cette tête de mule de Bacal qui va encore bien en baver. Et ce n’est pas fini…

     

    Site de l'éditeur : http://www.editionsdupetitcaveau.com/lea-bacal-tome-2-a-belles-dents-danne-bardelli/

     

    Site de l'auteure : http://nanouvire.wixsite.com/mordu-de-fantastique


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  • Bonjour, Yannick A. R. Fradin, vous êtes l’auteur du Cycle de McGowein, une saga de médiéval-fantastique dont le premier volet est auto-publié sur le site monBestSeller.com.


    Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler qui vous êtes ? Les internautes et vos lecteurs ne vous connaissent pas forcément.

     

    Bonjour Audrey. J'enseigne l'anglais depuis plus de dix ans et suis aussi professionnel de la petite enfance, deux métiers que j'exerce en parallèle, et aménagés de manière à pouvoir m'occuper de mes 4 enfants en bas âge (trois garçons de 6, 5 et 3 ans, et une fille née le 31 août 2016). L'écriture, qui était initialement un loisir, devient progressivement un troisième métier, envisagé avec la même rigueur et le même sérieux que les deux autres.

     

    Comment se passe la vente de votre ouvrage ?

     

    Je n'en suis pas encore à l'étape de vente, mais j'ai déposé divers écrits, dont le premier livre de mon cycle, « La Gardienne de Danarith », sur différents lieux numériques. Plus de 7500 personnes ont ainsi lu le début des aventures de Léraline et de McGowein sur le site monBestSeller.com, et d'autres ont lu et commenté divers écrits sur Scribay (essentiellement des contes et des nouvelles). 

     

    Est-ce le premier que vous publiez ?

     

    « La Gardienne de Danarith », le premier livre des sept prévus pour « Le Cycle de McGowein », est effectivement le premier écrit que j'ai publié, ou plutôt auto-publié.

     

    Quel(s) livre(s) et de quel(s) genre(s) se trouvent dans votre P.A.L. ?

     

    Ma PAL comprend de nombreux livres, essentiellement des ouvrages de SFFF et de fiction historique. Je lis en moyenne un roman et 5 BD par semaine, et j'ai tendance à lire 3 à 5 romans en parallèle, sauf à être si passionné par une histoire que je la lis alors d'une traite. Parmi les livres actuellement en vue dans ma PAL pour mes prochaines lectures : « Orcs » de Stan Nicholls, « La vie quotidienne au Japon à l'époque des Samouraïs, 1185 - 1603 » de Louis Frédéric, « Instinct 3 » de Vincent Villeminot, « Les Mystères de Lozère » de Élisa Sabathié et Marie-Pascale Vincent, « Le Faucon Éternel » de David Gemmel, et bien d'autres encore.

     

    Avez-vous des projets d’écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?

     

    Oui, beaucoup de projets d'écriture.

    Celui qui occupe surtout mon temps actuellement est mon cycle de fantasy « Le Cycle de McGowein », que j'espère avoir terminé pour fin 2020. Le second livre, « Dynterith, La Cité aux Douze Gardiens », est actuellement terminé, le troisième, « La Traversée de la Grande Mer de Nerith » est en cours d'écriture. Les quatre suivants seront entamés une fois le troisième relu, réécrit et corrigé.

    En parallèle de ce projet assez chronophage, je m'essaie à différents jeux d'écriture, des concours, des AT (appels à textes), et je rédige des articles pour mon blog, sur l'univers de mon cycle, mais aussi des techniques et conseils d'écriture et de lecture.

    Au-delà de l'horizon 2020, une fois le cycle terminé, j'ai d'autres projets en tête, mais j'en parlerai ultérieurement:-)

    Passons aux questions sur votre livre, êtes-vous fier de votre livre ?

     

    Fier serait un peu fort, je pense. Je suis content d'avoir pu arriver à un résultat qui plaît à de nombreux lecteurs, mais je n'oublie pas que l'écriture est une matière vivante qui se travaille et évolue. C'est en forgeant qu'on devient forgeron. C'est en écrivant qu'on apprend à mieux écrire. J'espère que ma plume mûrit et que mon style s'affermit progressivement au fil de mes écrits.

    Si « La Gardienne de Danarith » parvient à faire passer un bon moment à ceux qui le lisent, leur donne envie de lire la suite, et qu'il en va ainsi jusqu'au bout du cycle, alors j'en tirerai une véritable satisfaction.

    De même si d'autres écrits au format plus court donnent envie aux lecteurs de me lire sur d'autres sujets.

     

    Quel est son thème fédérateur et en quoi vous a-t-il plu ?

     

    Le thème fédérateur du cycle est la peur de la séparation de l'être aimé.

    Le cycle complet tourne autour d'un duo de protagonistes, sous le regard d'un troisième plus discret.

    Le guerrier Cormag McGowein est à la recherche de son fils et de sa femme, dont il s'est trouvé séparé dans des circonstances traumatisantes.

    Léraline Obélyne, Gardienne de Danarith, va devoir affronter le choix de la séparation également, mais sous un angle différent, et de manière connexe à la présence de McGowein.

    La petite fée Méruline, compagne de Léraline et discrète à bien des égards, contribue néanmoins à faire le lien entre les pensées de ses deux compagnons. C'est un personnage effacé mais essentiel, qui semble être le préféré de beaucoup de lecteurs, puisque j'ai eu beaucoup de retours en ce sens.

    Ce thème m'a plu car il donne de la crédibilité et de la profondeur aux personnages, et cela découle directement de la source d'inspiration première qui m'a mené à l'écriture de ce cycle : la peur de me trouver séparé de mon fils et de ma femme quelques mois après la naissance de mon aîné, qui a aujourd'hui 6 ans.

    Le point de départ du cycle, c'est cela. Le point final est une réponse à une situation de séparation, et le cycle complet est un voyage sur la manière dont on peut vivre une telle épreuve.

     

    Quel est le sujet de votre livre ?

     

    Pas par paresse mais plutôt par souci de lisibilité et de clarté, je vous propose le pitch actuel du premier livre, « La Gardienne de Danarith » :

    La Gardienne Léraline, de retour dans son village natal, a pour mission de surveiller et protéger un ancien portail. Cormag McGowein, mystérieux guerrier piégé pendant des années dans un monde de cauchemars, surgit des vestiges encore fumants dudit portail à l'occasion de terribles tremblements de terre et sème la destruction. Alors qu'une ombre menaçante s'étend sur le royaume de Dygallie, devront-ils s'affronter ou former une alliance ?

    Le sujet est donc la rencontre entre deux personnes, et une réflexion sur ce qui va les amener à se rapprocher ou à se séparer.

     

    Un de vos personnages vous ressemble –t-il ?

     

    Aucun de mes personnages n'est un Gary Stu ou une Mary Sue. Cependant, il est indéniable qu'il y a une partie de moi en chacun d'eux. On insuffle forcément un peu de soi dans des personnages que l'on crée et que l'on raconte. Les personnes qui me connaissent bien décèleront peut-être certains traits me caractérisant dans certaines situations ou manières de s'exprimer, mais chaque personnage a une fiche détaillée et je m'efforce de rendre chacun d'eux crédible et unique, donc avec des différences et des points communs, comme tout un chacun.

     

    Que voulez-vous dire à vos lecteurs et peut être futurs lecteurs ?

     

    Lisez ce qui vous plaît et passez un bon moment. Si un livre vous a plu, dites-le à l'auteur, cela lui fera plaisir. Plus encore si vous lui dites pourquoi.

     

    Avez-vous un conseil à offrir aux écrivain(e)s en herbe ?

     

    J'en aurais des dizaines et même des centaines^^

    Les premiers seraient peut-être les suivants :

    -        écrivez, régulièrement et souvent, même si vous disposez de peu de temps (je sais de quoi je parle avec deux métiers en parallèle et 4 enfants en bas âge!)

    -        variez les plaisirs : essayez-vous à différents formats (nouvelles, novellas, romans), participez à des jeux, des concours, des AT

    -        soyez cohérents ! C'est essentiel et incontournable

    -        soyez honnêtes avec vous-même et avec vos lecteurs, proposez-leur un travail personnel et de qualité, exprimez-vous avec vos propres mots selon votre manière naturelle d'écrire, mais travaillez durement et sérieusement pour rendre vos écrits aussi intéressants et lisibles que possible

    -        sachez prendre du recul et restez humble, n'ayez pas peur de la critique, accueillez-la et utilisez-la comme carburant pour améliorer ce qui peut l'être

    -        entourez-vous ! L'écriture est souvent un travail solitaire. Arrive le moment où l'on a besoin d'un regard extérieur, il faut alors se constituer un réseau, rencontrer des gens, communiquer avec eux, les écouter, etc. Ne restez pas enfermé dans votre coin. Partagez !

     

    Lien monBestSeller pour la Gardienne de Danarith

    http://www.monbestseller.com/manuscrit/le-cycle-de-mcgowein-le-village-de-danarith

    Lien des écrits sur Scribay

    https://www.scribay.com/author/104096171/yannick-a--r--fradin

    Lien du blog

    http://yannickarfradin.blogspot.fr

     


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  • Bonjour, Anne Bardelli. Vous êtes l’auteure de « La Marque », le tome 1 des aventures d’un agent spécial, Léa Bacal, publié chez les « Éditions du Petit Caveau ».

     

    Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler qui vous êtes ? Les internautes et vos lecteurs ne vous connaissent pas forcément.

    Qui-suis-je ? Difficile à dire, je crois que, moi-même, je n’ai pas encore trouvé la réponse à cette question ! Mais j’y travaille.

    Plus sérieusement, malgré ce que mes écrits pourraient laisser penser, je suis quelqu’un de tout à fait normal. Si, si. Je ne dors pas dans un cercueil, je n’ai pas d’appétence particulière pour le sang et j’aime me dorer au soleil. Même si, en tentant de créer mon arbre généalogique, j’ai découvert que certains ancêtres venaient de Transylvanie en Roumanie, mais chut…

    Sinon, je noircis les pages depuis sept ans maintenant, entre romans et nouvelles, mais toujours sombres ou teintées d’humour noir. J’aime les thrillers glauques, le fantastique, l’horrifique, du coup je ne me vois pas encore écrire des contes pour enfants. Ou alors, il faudra les traîner ensuite chez un pédopsychiatre…

     

    Comment se passe la vente de votre premier ouvrage ?

    Plutôt bien ! J’ai été très surprise (et heureuse) de constater que la version numérique de « La main immaculée » se plaçait en tête des ventes du Petit Caveau pour 2015, sachant qu’il n’a été présent que 6 mois, puisque sorti fin juin. Moi qui pensais que le numérique ne marchait pas en France, il faut croire que ça prend peu à peu. En tout cas, ce résultat encourageant pour mon premier roman me donne la pêche pour la suite des évènements.

     

    Quel(s) livre(s) et de quel(s) genre(s) se trouvent dans votre P.A.L. ?

    Pour les genres dans ma PAL, on l’aura compris, pas de romances Harlequin ! Là, je lis « Les larmes du dragon » de Dean Koontz (du fantastique/horreur), ensuite c’est « Gone baby gone » qui m’attend, de Dennis Lehane, ainsi que « Moonlight mile », du même auteur (thrillers policiers). J’avoue toutefois lire moins qu’avant : mon temps libre est phagocyté par ma fille et par l’écriture !

     

    Avez-vous des projets d’écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?

    Léa Bacal n’a pas fini d’enquêter et d’en prendre plein la figure ! Si le tome 1 sort en mars 2016, le contrat pour le tome 2 est signé, et je suis dans l’écriture du tome 6. Autant dire que j’ai de l’avance, et je ne sais pas encore combien de tomes vont suivre. Dois-je faire mourir Léa ? Hum…

     

    Passons aux questions sur votre livre, êtes-vous fière de votre livre ?

    Bien entendu ! Regarder l’aboutissement d’un projet, c’est comme regarder son môme grandir. Encouragements, avec les chroniques positives ; doutes, quand on se dit après coup que tel passage aurait été mieux comme ci, comme ça…

    Comme un enfant, le roman d’un auteur est pour lui/elle le plus beau du monde, même si des imperfections sont toujours là. On en a bien conscience.

     

    Quel est son thème fédérateur et en quoi vous a-t-il plu ?

    Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ! Léa hait les créatures, plus particulièrement les vampires. On ne peut pas l’en blâmer. Pourtant, au fil du temps, elle va apprendre à les connaître, creuser un peu… et changer. En clair, il ne faut pas s’arrêter à ses préjugés, mais essayer de connaître « l’autre ». Un thème plutôt d’actualité.

     

    Quel est le sujet de votre livre ?

    Léa est agent d’un organisme chargé d’éliminer les créatures qui ne respectent pas la loi, une sorte d’exécutrice. Dans le tome 1, elle poursuit un psychopathe, violent et cruel, avec l’aide inopinée d’un homme dont elle n’est pas certaine qu’il soit vraiment humain. Quant à sa cible, elle est en lien direct avec le passé de Léa, et aussi avec celui de l’homme qui l’épaule.

     

    Un de vos personnages vous ressemble –t-il ?

    Je pense être beaucoup moins courageuse que Léa. Pour le côté tête de mule, hum… no comment !

     

    Que voulez-vous dire à vos lecteurs et peut être futurs lecteurs ?

    Tout d’abord, un grand merci ! Sans eux, point d’aventure. Ils ont lu et aimé « La main immaculée », lui ont permis d’exister. Bah oui, pas de lecteur, pas de livre ! Je sais que certains d’entre eux attendaient une suite aux mésaventures de Marie Costello. Ce n’est pas le cas pour l’instant, mais je leur offre cette opportunité avec Léa. J’espère donc qu’ils apprécieront les différentes enquêtes de cette nana au caractère bien trempé !

     

    Avez-vous un conseil à offrir aux écrivain(e)s en herbe ?

    Il tient en un mot. Persévérez !

    Écrire est un marathon, pas un 100 mètres. Il y a des jours avec, des jours sans. Ne vous laissez pas abattre, et surtout n’écoutez pas les chants des sirènes qui vous susurrent que ça ne sert à rien, que de toute façon c’est perdu d’avance. Avant tout, vous écrivez pour vous : pour votre plaisir, comme exutoire, par passion. Si vous avez de la chance, un jour vous écrirez pour les autres, pour être lu. En attendant, ne lâchez rien.

     

    http://www.editionsdupetitcaveau.com/produit/la-marque-de-anne-bardelli/

     

     

     

    Anne Bardelli -- La marque--


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  • Bonjour, Geneviève Dumesnil, vous êtes l’auteur de "Luciole", publié en autoédition. Les internautes et vos lecteurs ne vous connaissent pas forcément, pouvez-vous parler de votre parcours ?

    Il n'y a pas grand chose à dire sur mon parcours, je débute complètement dans le monde de l'édition, même si j'écris depuis des années. 

    Aimez-vous lire ? On dit souvent qu’il faut beaucoup lire pour écrire, qu’en pensez-vous ?

    Oui, j'aime lire. Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours aimé lire. Je lis énormément et de manière éclectique. Ça dépend des périodes, de mes envies, de mes découvertes. 
    Je pense que l'envie d'écrire apparaît comme une continuité dans le plaisir de lire. La suite logique des choses. 


    Avez-vous des projets d’écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?

    Oui, j'ai deux projets sur le feu. Un projet d'aventure jeunesse qui mijote depuis un bon moment. J'aimerais le finaliser dans les semaines qui viennent. C'est une promesse que j'ai faite à mon fils. C'est un livre que j'ai écrit pour lui, à la base et il est impatient de le tenir entre ses mains.
    Ensuite, j'ai un autre projet de polar qui mijote. J'aimerais garder ce même type d'ambiance que dans Luciole.Commencer avec des événements légers, de la vie quotidienne et puis glisser peu à peu dans une atmosphère plus lourde. Même si le sujet et les personnages seront très différents, j'aimerais arriver à rendre ce type d'ambiance.


    Depuis quand écrivez-vous ? Avez-vous écrit autre chose que votre genre publié ? 

    J'ai commencé à écrire quand j'étais très jeune, mais à cet âge, on se décourage vite et je n'ai jamais passé le cap du second chapitre. J'ai repris vers 20 ans, mais les études, le manque de temps, puis, le travail, la famille... Bref, l'envie d'écrire s'est repliée tout au fond de moi en attendant des jours meilleurs. J'ai véritablement repris l'écriture il y a une petite dizaine d'années. J'ai écrit quelques nouvelles, quelques compte-rendu de voyages imaginaires dans des lieux inventés, quelques histoires courtes également. Ensuite, je me suis lancée dans mon premier roman, de la fantasy inspirée par des légendes Nordiques. Mon second livre, c'est un roman d'aventure jeunesse qui mérite d'être retravaillé avant d'être finalisé. Luciole est mon troisième roman, mais seulement le premier à être publié.

    Vous êtes un(e) écrivain(e) à plein temps ou pas ? Avez-vous l’ambition de l’être ?
     

    Hélas non, je travaille pour payer les factures et remplir le frigo. J'aimerais bien être écrivain à temps plein, ce serait formidable. 

    Que pensez-vous du monde de l’édition ?


    Pas grand chose... Sans rire, j'ai choisi l'autoédition, je ne me suis pas adressée à des maisons d'éditions "classiques" avant de publier mon roman. C'est avant tout par esprit d'indépendance et ensuite parce que je ne crois pas qu'une grosse maison s'intéresserait à une parfaite inconnue dans le milieu. Et les petites n'ont pas forcément les moyens de servir de tremplin à un jeune auteur. De plus, le travail éditorial ne m'effraie pas et j'ai ainsi pu garder le contrôle sur mon histoire. Dans l'ensemble, je ne suis pas contre les maisons d'éditions, mais j'avais envie d'essayer par moi-même et d'aller jusqu'au bout de mon projet.

    Passons aux questions sur votre livre, êtes-vous fière de votre livre ?


    Bien sûr, je suis fière de mon livre. Même si je suis consciente qu'il reste des imperfections. Je suis surtout fière d'être arrivée au bout du projet. Et fière également qu'il ait reçu des chroniques positives sur divers sites.

    Quel est son thème fédérateur et en quoi vous a-t-il plu ?


    Je crois qu'il y a deux thèmes principaux, l'espoir et l'indépendance d'esprit, vouloir être soi, faire ses choix et affirmer sa personnalité, même si ça déplaît. Les raisons pour lesquelles j'ai aimé écrire cette histoire sont multiples. En premier, je suis quelqu'un qui tente toujours de positiver. Même quand la situation est difficile, j'arrive à mettre le doigts sur le petit point positif qui aide à garder "la tête hors de l'eau". Ensuite, j'ai ce tempérament d'affirmer "je suis comme je suis et ceux à qui ça ne plait pas, ils peuvent regarder ailleurs". D'ailleurs, il y a une citation de Guitry que j'aime beaucoup et que j'ai mis dans la bouche d'un de mes personnage : "Si tous ceux qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d'eux, ils en diraient plus encore."

    Quel est le sujet de votre livre ?


    C'est une histoire de meurtre inexplicable dans un petit village tranquille. Au fil des pages, les masques tombent et des petits secrets inavouables sortent de l'ombre. Ça parle de secrets de familles, de mensonges et surtout d'espoir pour ceux qui ont été blessés par la situation.

    Un de vos personnages vous ressemble –t-il ?


    Non, pas vraiment, même si certains traits de caractères ressortent. La seule ressemblance entre moi et le personnage féminin, c'est son chien. Dans l'histoire Shaman est toujours dans l'ombre de sa maîtresse comme mon chien est dans la mienne. Il a passé de nombreuses heures à mes pieds et il m'a inspiré ce personnage secondaire.

    Que voulez-vous dire à vos lecteurs et peut être futurs lecteurs ?


    Avant tout, je tiens à les remercier, sans les lecteurs, l'aventure n'existerait pas. Ensuite, je les encourage à me donner leur avis sur Luciole, que ce soit par l'intermédiaire de ma page Facebook : Geneviève Dumesnil auteure ou sur mon site : Plaisir d'écrire, Luciole.

    Quel est votre rituel d’écriture ?


    Généralement, j'essaie de me dégager une heure en matinée pour écrire, mais ce n'est pas toujours possible. Par contre, le soir, dès que les enfants sont au lit, je retrouve mon clavier avec plaisir.

    Avez-vous un conseil à offrir aux écrivain(e)s en herbe ?


    Persévérez ! Écrire un livre, c'est un travail de très longue haleine, avec des hauts et des bas. Ne vous laissez pas décourager par les jours "vides". Il n'y a qu'en persévérant qu'on arrive au bout, un pas après l'autre.

    Où acheter ?

    version ebook : http://www.amazon.fr/Luciole-Genevi%C3%A8ve-Dumesnil-ebook/dp/B0153VEL4Q/ref=pd_rhf_gw_p_img_1?ie=UTF8&refRID=1HB02J75JCQHA2JRZ96D

    version papier : http://plaisirdecrire1.e-monsite.com/pa ... apier.html

    Egalement  disponible à la maison de la presse à Vire.

    Nota bene : La version papier est disponible au centre culturel Leclercq de Vire, au Carrefour Contact de Saint-Sever-Calvados ainsi que la librairie de Saint Sever.
    Il sera prochainement disponible en Belgique à la librairie "Chez BD" à Stockay et vraisemblablement dans d'autres librairies dont l'auteure encore l'accord.

     

     

    Geneviève Dumesnil

     

     


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    Amélie PREVE

     

    Bonjour, Amélie PREVE, vous êtes l’auteur de publié « Contre-nature » chez les Editions de la Reine, le 25 février prochain. Les internautes et vos lecteurs ne vous connaissent pas forcément, pouvez-vous parler de votre parcours ?
     

    Mon parcours...hum... Je suis née dans une région où, à l’heure d’aujourd’hui, il doit toujours y avoir plus de vaches que d’habitants (si si, c’est possible, au pays de la cancoillotte :P) Bon, blague mise à part, si on commence du début, ça va être un peu long (et assez inintéressant). L’idée de ce roman a germé dans mon esprit alors que je n’avais que 14 ans. Après plusieurs tentatives qui se sont soldées par un échec, sûrement dû à mon immaturité par rapport à l’ampleur d’un tel projet et à l’ambiance noire de ce roman, je l’avais abandonné quelques temps. Je ne l’ai repris que lors de l’été 2013, et là, ça s’est écrit tout seul et en moins de six mois, le premier jet était sorti. Et après quelques temps de correction, c’est avec grand plaisir que j’ai découvert que les éditions de la Reine acceptaient de me le publier :)

    Aimez-vous lire ? On dit souvent qu’il faut beaucoup lire pour écrire, qu’en pensez-vous ?

    J’ai toujours été une mordue de lecture, depuis mon plus jeune âge. Je ne compte pas les heures passées à lire, cachée sous ma couette en pleine nuit parce que j’étais incapable de décrocher de mon bouquin. Pour moi, la lecture est naturelle et je pense effectivement qu’elle est primordiale pour écrire. Déjà parce qu’on visualise mieux les mots qu’on lit donc c’est un gros plus pour l’orthographe, mais aussi car elle aide à stimuler l’imagination et, inconsciemment, à étudier la structure du récit.

    Avez-vous des projets d’écriture ? Pouvez-vous nous en parler ?

    Je suis actuellement dans un projet de Fantasy en plusieurs tomes qui demande pas mal de travail mais je m’amuse beaucoup en l’écrivant. Pour le moment, c’est compliqué d’en dire plus, il y aurait beaucoup trop de choses à raconter ;)

    Depuis quand écrivez-vous ? Avez-vous écrit autre chose que votre genre publié ? 

    J’ai commencé à écrire des petits textes en primaire, vers 9 ans. D’abord, c’était des poèmes à l’école mais suite aux encouragements de mes professeurs, j’ai gribouillé des petites histoires qui tenaient sur trois pages maximum et qui finissaient toutes à la poubelle au fur et à mesure. Puis à 14 ans, l’illumination ! L’histoire de « Contre-Nature » s’est imposée à mon esprit donc je me suis lancée dans l’aventure. Oui oui, j’avais l’esprit tordu très tôt ;)
    Sinon, effectivement, ce premier roman étant un thriller, je suis partie sur une romance pour le second et là...de la Fantasy. Autant dire que j’aime toucher à tout ;)


    Vous êtes un(e) écrivain(e) à plein temps ou pas ? Avez-vous l’ambition de l’être ?

    Malheureusement non. Je pense que tout écrivain rêverait de pouvoir vivre de sa passion. Mais comme pour beaucoup, il faut bien que je remplisse mon frigo, donc j’écris dans mon temps libre. Mais il est évident que si la chance se présentait un jour de pouvoir écrire à plein temps, je la saisirais sans me poser de questions. Tout simplement parce que j’ai trop d’histoire à coucher sur papier et que tant que ce n’est pas fait, toutes ces idées me harcèlent, alors autant vous dire que c’est un sacré cafouillis dans mon esprit ! 


    Que pensez-vous du monde de l’édition ?

    Pour le moment, je n’ai qu’un tout petit pied dedans donc je ne peux pas encore trop me prononcer dessus mais pour moi c’est une chance, un rêve et surtout la concrétisation de plusieurs années de travail. Pour le moment, ce monde me transporte sur un petit nuage. Il n’y a plus qu’à attendre de voir combien de temps je vais y rester ;)


    Passons aux questions sur votre livre, êtes-vous fière de votre livre ?

    On peut dire que j’en suis fière effectivement, c’est l’aboutissement de beaucoup de travail, de grosses périodes de doutes, de remise en question, mais j’ai réussi à aller jusqu’au bout et c’était mon objectif premier.


    Quel est son thème fédérateur et en quoi vous a-t-il plu ?

    À vrai dire, je n’ai pas réfléchi à un message en particulier à véhiculer. Je pense que la quête de la vérité est une idée assez développée dans ce roman, et le fait qu’il ne faut pas se fier aux apparences. Je ne dirais pas qu’il m’a plu plus qu’un autre, j’ai écrit mon histoire sans vraiment y réfléchir.


    Quel est le sujet de votre livre ?

    Pour résumer, c’est une femme qui part à la recherche de son mari disparu du jour au lendemain. Un chassé-croisé entre une enquête policière menée par un flic un peu ripoux, et la vie de Rachel, mon personnage principal à partir de ce jour.


    Un de vos personnages vous ressemble –t-il ?

    On ne peut pas vraiment dire qu’il y en ait un qui me ressemble. J’ai insufflé quelques traits de mon caractère à Rachel comme je le fais souvent avec mes personnages sans jamais faire en sorte qu’ils soient comme moi. Ils en sont plus intéressants ;)

    Que voulez-vous dire à vos lecteurs et peut être futurs lecteurs ?

    Déjà un grand merci à ceux qui liront « Contre-Nature ». J’espère de tout cœur que ce roman leur plaira, et qu’ils prendront autant de plaisir à le découvrir que moi j’en ai pris à l’écrire. Et surtout, qu’ils n’hésitent pas à me suivre sur les réseaux sociaux et notamment ma page Facebook sur laquelle je mettrai régulièrement des nouvelles de ce roman et de mes futurs projets :) 

    Quel est votre rituel d’écriture ?

    Je ne pourrais pas réellement parler d’un rituel. J’aime boire une boisson chaude (thé ou chocolat) quand j’écris, ça me donne une certaine sensation de confort et un apaisement. Mais je ne le fais pas systématiquement. En revanche, j’ai trouvé une bonne méthode pour écrire de façon efficace. Je n’écris pas sur ordinateur mais sur un cahier à spirale que je promène partout avec moi. Il me protège d’une certaine façon du syndrome de la page blanche et dès que j’ai fini, je retape tout et apporte les premières corrections. J’ai remarqué que c’était ce qui marchait le mieux pour moi.


    Avez-vous un conseil à offrir aux écrivain(e)s en herbe ?

    Surtout, il faut croire en ses projets, en ce qu’on écrit. Mais je pense que le meilleur conseil que je puisse donner, c’est de bien s’entourer. Quelqu’un d’extérieur verra forcément mieux les erreurs que vous faites que vous-même, avoir des amis qui vous suivent et vous poussent de l’avant vous aidera à aller jusqu’au bout et à moins douter de la réussite de votre projet. Bref, entourez-vous des personnes que vous aimez, ils vous donneront les ailes ;)

     

    Chroniques littéraires de l'auteure  : http://landofbooks-chroniques.blogspot.fr/

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